La rentrée décalée à l’IDRAC Business School : une belle opportunité pour se réorienter
- Publié le 22 septembre 2020
- Mis à jour le 12 octobre 2020
- Adeline Arénas
Article écrit en partenariat avec IDRAC Business School
Quel est ton parcours scolaire ?
J’ai passé un bac STMG. Une fois le diplôme obtenu, j’ai commencé une licence en droit à l’université.
Pourquoi cette première formation t’a-t-elle déplu ?
Le droit n’était pas mon premier choix. Je voulais faire une formation qui était plus dans la suite de mon bac, mais Parcoursup ne m’a pas vraiment laissé le choix : je n’avais pas les résultats suffisants pour suivre la formation que je souhaitais. Je n’étais pas motivé pour la licence de droit, je n’avais pas envie de suivre ces études, et les cours en amphithéâtre avec beaucoup d’élèves ne me plaisaient pas.
Comment as-tu découvert la formation fast-track d’IDRAC Business School ?
Via le bouche-à-oreille. Des gens m’ont parlé de la rentrée décalée à IDRAC BS. J’ai décidé d’entrer en contact avec la chargée de promotion du programme au sein du campus qui m’intéressait grâce à qui j’ai pu intégrer l’école.
La rentrée décalée est une super opportunité, mais comment as-tu compris que c’était le bon choix ?
On ne peut jamais être sûr qu’on a fait le bon choix quand les cours commencent. Je venais de sortir d’un échec, donc j’avais un peu une crise d’arrogance et l’envie de réussir. Les gens qui m’avaient conseillé IDRAC Business School avaient très bien décrit l’école, je n’ai donc pas été déçu. En tant qu’étudiant, on y est très suivi, très accompagné. Le commerce m’intéressait déjà quand j’étais au lycée, mais ma réorientation l’a confirmé.
Qu’est-ce qui t’a plu dans la rentrée décalée en fast-track ?
Les deux premiers mois du programme fast-track sont bien optimisés pour rattraper les cours par rapport au cursus classique. Le rythme est identique au lycée : on a cours cinq jours par semaine, pendant toute la journée, et on termine à 18h. La charge de travail est importante, surtout pendant les examens, mais on travaille avec plaisir. L’essentiel est d’être déterminé ! Je n’ai pas eu de vacances, puisque les cours se sont terminés en juillet, que j’ai enchaîné sur un stage de deux mois, et que je suis entré en deuxième année de Bachelor directement. Mais les vacances ne m’ont pas manqué !
Les travaux de groupes sont présents dès le début de la rentrée décalée. Nous faisons dès les premiers jours un « business game », qui ressemble un peu à un jeu de rôles, où nous devons pitcher un projet d’entreprise en deux jours, avec une présentation orale à la fin. Nous devons également préparer des dossiers en groupe, mais les professeurs nous donnent le délai un mois à l’avance. La moitié des contrôles concernent des travaux de groupes, ce qui facilite l’intégration des élèves et les relations au sein des promotions. Je trouve aussi que ça améliore notre point de vue vis-à-vis du travail.
Quel est ton projet professionnel ?
Je suis très intéressé par le secteur de l’immobilier. J’ai fait mon stage dans une agence à la fin de la rentrée décalée. Je compte faire un autre stage dans ce secteur à la fin du Bachelor, poursuivre mes études jusqu’au Bac+5 et travailler ensuite dans ce domaine.
(Article initialement publié le 20 janvier 2020)